Ses glanages de sons réels (pas feutrés dans la neige, murmures de portes mélancoliques, tic tac d’horloge déréglée), concassés et composés en petites symphonies sonores de dix minutes, s’écoutent allongés sur des chaises longues. Dans cet environnement sonore collectif, Boris Billier nous livre l’intimité d’un voyage en son pour redécouvrir le potentiel narratif de notre quotidien acoustique…