Sous le fer et le verre de la Halle Martenot, ce bazar d’instruments et d’outils à sons ressemble à une salle des machines, à un étrange atelier. Des techniciens s’affairent, manipulent, les spectateurs déclenchent les instrumentations en se déplaçant et le Grand Orchestre Philarmonique prend forme. Plus tard, les constructions féériques rencontrent des musiciens rennais pour jouer les œuvres de Mino Malan. François Delarozière orchestre cette « symphonie mécanique » inédite qui nous emmène dans une nouvelle géographie sonore, une fascinante aventure théâtrale qui se renouvelle à chaque visite.