De la gouaille électrique et rouillée de MONOFOCUS est né ce projet d’électro blues forain pour bambins, MINIFOCUS, boîte à musique géante mise en branle par les quatre faux frères dézingués. Dans une autre forme rétro moderne de relation au public, tendre, mais toujours rugueuse et intrigante, grincements, torsions, instruments-jouets, guitares distordues, tuba, orgue et Nintendo, élaborent cette viée musicale qui encanaille la marmaille…
BIOGRAPHIE
Né du territoire fantasque, trempé dans les baraques de foire et les arts de la rue de la compagnie 2 Rien Merci (compagnie de spectacles vivants dans laquelle les trois frères sévissent toujours), MONOFOCUS a gardé ce goût pour le bois rugueux, la rouille du métal, les craquements et les grincements. C’est de ce terreau mélangeant le cirque aux arts forains, la gouaille à la musique expérimentale, le goût pour la virtuosité dérisoire, qu’a germé l’alchimie du groupe. Après une année de recherche et d’expérimentations, l’aventure commence en avril 2008, sur la scène des Découvertes du Printemps de Bourges et se poursuivra au festival Les Tombées de la nuit, puis Chalon dans la rue (Chalon-sur-Saône) et la Ruche du Paléo Festival (Nyon, Suisse). Depuis, avec un premier album « Fratelli Brutti » (2009), Monofocus continue à écumer les scènes de musiques actuelles tout comme les festivals de musique et de rue de France et d’Europe. Aujourd’hui, en plus de la création du projet d’électro blues forain pour bambin MINIFOCUS et de la sortie du deuxième album, se tisse un projet de virée sauvage à Brooklyn / New York, l’envie de concevoir un camion-scène pour aller à la rencontre de tous les publics… À suivre.
DISTRIBUTION
Freddy Boisliveau : Cordes raides / Vincent Petit : Basses et cuivres / Yann Servoz : du Toy Piano à la Nintendo / Mathieu Ogier : Gramophones / Jérôme Bouvet : mise en scène / Pierre-Yves Beluze : son / Laurent Cadilhac : construction lumières / Frédéric Fivaz : création graphique / Aurélie Gagner : chargée de production
Production : 1 Montreur d’ours, En co-production avec : Le Channel, Scène Nationale, Calais, Château Rouge, Annemasse, Antwerpen Open, Belgique, Les Tombées de la Nuit, Rennes et le soutien de l’association Transmusicales – Rennes.