Après la Fanfarrah et Al-Harmoniah, Luc Mishalle revient aux Tombées de la Nuit sur la cadence de ce nouveau projet musical bâti sur les échanges et les emprunts entre culture flamande, jazz, improvisation et rythmes orientaux. Saxophones, tubas, trompettes et euphoniums s’appuient sur la force rythmique des karakebs, tbels, bendirs et autres darboukas pour inventer cette gnaoua bruxelloise festive, ce shaabi-funk obsédant et furieusement dansant.