Un chapiteau-yourte en forme de baraque de foire de guingois, de métal et de bois de récupération. Trois personnages étranges, hirsutes, hagards, poussiéreux et un peu inquiétants, attirent le chaland en exhibant cet étrange « Gramoulinophone »… Avec cette suite au « Moulin Cabot » (2007) et dans le droit-fil de l’univers musical de « Monofocus » (2008), la compagnie nous emmène à nouveau dans ce monde résolument onirique, granuleux, rouillé, clownesque et déjanté.