Les vastes territoires hospitaliers du Zoublistan sont peuplés de musiciens guérisseurs, de luthiers alchimistes, de danseurs méditatifs et de saltimbanques illuminés. La tradition vivante de leurs ancestrales contrées bénies des Dieux est la seule richesse de ce peuple nomade. Préservée jusqu’il y a peu des grandes mutations modernes, celle-ci s’est épanouie de façon originale, développant des formes artistiques d’un genre unique. A la fin du XXème siècle, l’isolement fut peu à peu rompu et les Sages du Cercle des Provinces Réunies envoyèrent hors des frontières plusieurs émissaires avec pour mission de propager les vertus du chant, de la danse et de la musique.