Ces « drôles de dames » de la musique à danser (quatre chanteuses et cinq instrumentistes) sont toutes immergées dans la culture traditionnelle. Leurs chanteuses maîtrisent à la fois le chant breton et gallo et couvrent le champ de haute et basse Bretagne. Point de rencontre et de fusion, de répertoires qui se définissent trop souvent dans l’opposition, ces filles sont aussi à l’aise en fest-noz qu’elles le seront pour le second passage sous les plafonds du Liberté.