En cravate et costumes italiens, la fanfare belge s’invente en batucada athlétique à usage exclusif de percussions latinos. Derrière une dimension théâtrale et leur allure de mafiosos déglingués, la plus célèbre des formations montoises se place résolument ailleurs par son usage exclusif des percussions. A coup de tamborim, de surdo et de sifflets, Don Fiasko arrête les regards comme d’autres les balles.