Après « Détaché », premier album qui mêlait textes poétiques, chansons et électronique, François Audrain poursuit sa route de traverse avec son deuxième album, « Chambres lointaines ». De Saint-Germain-des-Prés au quai du métro londonien, du Népal à l’appel onirique des légendes ottomanes, ses chansons s’insinuent comme de petites vignettes de voyages fantasmés et son autant d’invitations aux voyages intérieurs. Son écriture poétique, fluide et soignée, à l’art de la miniature. Il matérialisera son univers pop et cinématographique, en création au Vieux Saint-Etienne.
Après « Détaché », premier album qui mêlait textes poétiques, chansons et électronique, François Audrain poursuit sa route de traverse avec son deuxième album, « Chambres lointaines ». De Saint-Germain-des-Prés au quai du métro londonien, du Népal à l’appel onirique des légendes ottomanes, ses chansons s’insinuent comme de petites vignettes de voyages fantasmés et son autant d’invitations aux voyages intérieurs. Son écriture poétique, fluide et soignée, à l’art de la miniature. Il matérialisera son univers pop et cinématographique, en création au Vieux Saint-Etienne.